Méditation pour dormir, les 6 clés pour réussir !
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La méditation nocturne correspond à une séance de méditation réalisée durant la soirée. Bien qu’il existe plusieurs moyens de favoriser le sommeil, la méditation permet d’améliorer l’endormissement. Elle soulage le stress, l’anxiété, tout en favorisant l’éveil spirituel. Le sommeil peut être un luxe pour certains, mais avec cette technique, il sera facile de tomber dans les bras de Morphée. Découvrez dans cet article, 6 clés pour réussir une méditation ayant pour but de mieux dormir.
L’endroit idéal pour une méditation
Le choix d’un environnement pour méditer est très important. Pour favoriser la stimulation du sommeil, chaque élément de l’espace doit agir pour favoriser une ambiance apaisante. Dans la chambre, il faut s’assurer qu’il n’y ait pas de bruit dérangeant. Ceci dit, il faut donc un espace le plus calme possible. Aussi, la pièce ne doit pas être en désordre pour avoir une tranquillité d’esprit et pour se concentrer à dormir. En effet, le désordre peut faire remonter le stress et priver de confort.
Les positions pour une méditation nocturne
La méditation exige une bonne posture. Mais cela ne veut pas dire qu’il faudra s’asseoir par terre et se tordre dans une position inconfortable. Pour une séance avant le coucher, il y a deux options à privilégier :
Le lotus ou Padmâsana
Il s’agit d’une posture de méditation assise, jambes croisées, chaque pied étant posé sur la cuisse opposée. C’est une asana (position) du yoga pré-hatha qui est largement utilisée dans les différentes traditions hindoues, tantriques, jaïnes et bouddhistes.
La position allongée
Cette position convient aux personnes qui souffrent de problèmes dorsaux ou de sciatique. Pour préparer la méditation, il faut s’allonger sur le dos avec les jambes écartées et les bras tendus sur le long du corps.
Les musiques à privilégier lors de la méditation nocturne
Le recours à la médiation constitue une méthode simple et facile pour se recentrer et se détendre. La musique renforce la concentration durant la méditation. Sur ce point, voici les genres de musiques à prioriser pour les séances nocturnes :
Musique classique
Ce type de musique suscite des émotions apaisantes chez l’auditeur. Son écoute favorise l’élimination du stress et l’amélioration de l’humeur. De plus, il existe une centaine de titres en phase avec la méditation.
Sons de la nature
Des gouttes de pluie qui se fracassent sur un toit, le tonnerre et les éclairs qui éclatent dans le ciel sont toutes d’excellents sons de méditation. Ces bruits ravivent les liens avec la nature, permettant de se sentir un peu plus connecté à l’environnement.
Musique ambiante (chants d’oiseaux, forêt …)
Dans cette musique, l’accent est mis sur le ton et l’environnement plutôt que sur la structure musicale traditionnelle. C’est une bonne chose pour la méditation, car elle aide l’auditeur à conserver une concentration mentale maximale.
Zen musique
Souvent appelée musique contemplative, la musique Zen cherche consciemment à harmoniser les deux hémisphères cérébraux. Lorsque les deux hémisphères fonctionnent en concordance, on peut ressentir une sérénité intérieure, une tranquillité et une illumination spirituelle
En tout cas, durant la méditation, la bonne musique favorise la sécrétion de la mélatonine. Cette hormone est liée au sommeil.
Le temps à consacrer pour de la méditation
Dix minutes de méditation sont-elles suffisantes ? La réponse à cette question dépend de l’objectif que et du style de méditation. Pour un débutant, c’est largement convenable pour favoriser l’endormissement.
En revanche, pour une concentration plus intense. La méditation peut durer jusqu’à 30 minutes, ainsi, il y aura plus de temps pour les exercices de respiration. En tout cas, Il vaut mieux ne pas dépasser les 35 minutes pour la méditation nocturne.
Se concentrer sur la respiration durant la médication
La respiration joue un rôle important lors de la méditation. Voici les clés pour réussir cet exercice. En premier lieu, il faut respirer profondément par les narines pendant au moins trois secondes, puis maintenir cette respiration durant deux autres secondes.
Ensuite, il convient d’expirer pendant au moins quatre secondes par la bouche. Cela doit se faire en cinq minutes. Enfin, il faut revenir progressivement à la respiration naturelle.
Pendant la méditation, laisser le corps, la respiration et l’esprit être tels qu’ils sont tout en restant conscient.
La maîtrise des distractions numériques
Consulter régulièrement les courriels et les réseaux sociaux n’est pas conseillé lors de la méditation. En effet, le fait de déplacer la concentration d’un élément à un autre a un coût. Le cerveau trébuche un peu, et il lui faut du temps pour revenir là où il était avant d’être distrait. Le multitâche a un coût, mais il existe une solution simple : éteindre le téléphone.
Il en va de même pour les autres appareils numériques qui risquent de perturber la méditation nocturne :
●Les tablettes
● L’ordinateur (Desktop/Laptop)
● Les montres connectées
● La télévision
● Les alarmes.